Le temps des fêtes est arrivé
Par un savant calcul basé sur des préceptes immémoriaux et ancré sur une tradition millénaire (ou presque), j'ai décrété que la première fin de semaine après le 1er décembre verrait l'installation de notre arbre de Noël.
C'est donc aujourd'hui que nous avons eu le plaisir, pour la première fois, de sortir le sapin de son entreposage pour le monter (dans tous les sens du terme) dans le salon. L'an dernier, nous avions quand même dû le magasiner, l'acheter et le transporter à la maison, ce qui avait pris beaucoup plus de temps. Avant ça, nous allions en couper un chez les lutins du Père Noël ou nous nous en procurions un, déjà coupé, chez Loblaws. Finalement, malgré l'aspect peu écologique de cette option, nous avons décidé de payer le gros prix une fois pour toutes, et que ce soit terminé pour les 20 prochaines années (au moins!).
Ce qui est formidable avec ce sapin, c'est que les lumières sont intégrées, ce qui réduit de façon phénoménale le temps d'installation. Il y a peut-être des romantiques invétérés qui aiment passer des heures à passer des fils parmi les épines et qui considèrent que le temps passé à monter, installer et décorer le sapin est un moment magique qui doit être étiré le plus possible. Je conviendrai sans problème que de parsemer tranquillement le sapin de boules, rubans et guirlandes, en famille, en écoutant de la musique de Noël et en regardant la neige tomber par la fenêtre est une activité extrêmement plaisante. Mais installer les lumières? Personne ne pourra me faire voir du romantisme là-dedans.
Tout ça pour dire qu'en moins de trente minutes, notre magnifique sapin était installé et décoré. C'est Lili Tiger qui a fait le plus gros; je me suis contentée de décorer le haut, tellement inaccessible que j'ai moi-même dû monter sur un tabouret pour m'acquitter de cette tâche. Je vous laisse admirer le résultat, en m'excusant de la piètre qualité de l'image. Je ne sais pas si c'est la fébrilité de savoir le temps des fêtes à nos portes, mais l'appareil-photo ne voulait pas rester immobile entre mes mains.
Vous constaterez si vous êtes observateurs que Noirette et Julie ont déjà rejoint leur lieu de prédilection, soit le dessous de l'arbre, qu’elles ne quitteront plus pour les 4 prochaines semaines.